About 300 airport limousine drivers, members of Unifor Local 252, marched at Toronto’s Pearson Airport twice in May to highlight the inconvenience to travellers and unfairness to drivers of a GTAA decision to move limos away from the main arrival doors.
A Unifor member formerly employed at Presteve Foods Limited has won the highest damages award in Ontario’s history after a human rights tribunal found the company responsible for serious offences – including sexual solicitation, sexual harassment, discrimination, and a sexually poisoned work environment.
In the face of continued weakness in Canada’s employment outlook, a unique roundtable of labour, business, student and community leaders says Canada must use its rich resources to create good jobs by producing value-added products and services.
Près de 300 chauffeurs de limousine à l’aéroport, membres de la section locale 252 d’Unifor, ont manifesté à deux reprises dans la zone des arrivées à l’aéroport Pearson en mai pour souligner les désagréments causés aux voyageurs et l’iniquité pour les chauffeurs d’une décision de la GTAA de retirer les limousines des principales portes d’arrivée.
Des milliers de personnes se sont rassemblées à Queen’s Park le 28 mai pour demander au gouvernement provincial d’abandonner son projet de privatisation d’Hydro One.
Une membre d’Unifor anciennement employée de la compagnie Presteve Foods Limited a remporté la décision la plus élevée en matière de dommages et intérêts de toute l'histoire de l'Ontario lorsqu'un tribunal des droits de la personne a jugé la compagnie responsable de fautes graves, dont la sollicitation sexuelle, le harcèlement sexuel, la discrimination et un climat de travail sexuellement malsain.
Devant les piètres perspectives d’emploi qui se maintiennent au Canada, une table ronde unique réunissant des dirigeants de syndicats, d’entreprises, des étudiants et des représentants des communautés affirme que le Canada doit utiliser ses riches ressources pour créer des emplois de qualité en produisant des produits et services à valeur ajoutée.